Je viens de découvrir un poème très surprenant de Ghérasim Luca, un roumain philosophe, poète "sonore", que l'on pourrait qualifier de surréaliste. Il expérimenta la gymnastique des mots au travers du bégaiement, notamment dans son poème "Passionnément". Voici la lecture du poème par l'artiste lui-même suivie du texte :

            

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